Algodystrophie

 

 

 

I – introduction

 

 

L’algodystrophie est un mal redoutable et sa prise en charge actuelle ne donne pas souvent les résultats escomptés. En raison de maux complexes, il est nécessaire, pour la protéger, de s’attaquer à toute la gamme des causes qui la provoquent. Afin d’atteindre et de surmonter ce mal, nous proposons deux types de façons différentes de le traiter, qui peuvent être plus compliquées.

 

mots clés relatifs à l’algodystrophie :

 

 

Algodystrophie – fracture – chirurgie osseuse – entorse – traumatismes – syndrome de Südeck-Leriche – dystrophie sympathique réflexe – algoneurodystrophie – algodystrophie réflexe – syndrome épaule main – ostéoporose -oedème – troubles trophiques – douleurs – raideur – fibrose.

 

Les praticiens et les patients sont confrontés à ces redoutables pathologies depuis très longtemps. L’algodystrophie est redoutable car l’installation est brutale et inattendue, et l’intervention est suivie d’un traumatisme mineur, d’une intervention chirurgicale orthopédique sur une déformation osseuse (hallux valgus par exemple) ou une fracture.

 

Comme toutes les maladies complexes, elle a fait l’objet de dénominations diverses qui regroupent « en général » les mêmes symptômes.

 

 

Le manuel MERCK, qui regroupe tous les méchants pouvant être utilisés pour créer une liste et une description pour les femmes.

 

 

Nous avons appris le chapitre sur l’algodystrophie du livre (Citer le livre et les auteurs du COFFER)

, dont nous citons quelques extraits.

 

 

Nous craignons que l’algodystrophie puisse être qualifiée de réflexe et de post-traumatique.

 

 

Il est sur pied pour le syndrome de Südeck Leriche.

 

Il est préférable de prendre les noms de :

 

 

 

 

    • – Dystrophie sympathique réflexe.

 

 

    • – Algoneurodystrophie

 

 

    • – Algodystrophie sympathique

 

 

    • – Si elle atteint le membre supérieur dans son ensemble elle devient « syndrome épaule – main ».

 

 

 

 

En tout état de cause, il est nécessaire de définir, dans la pratique, un problème unique et très grave impliquant plusieurs types d’activités et de lieux différents, dont les plus graves pourraient entraîner une souffrance du patient en raison d’un manque de capacité physique ou mentale ou une invalidité partielle ou totale des travailleurs.

 

 

Il est intéressant de constater que le mot réflexe revient presque systématiquement dans les définitions. Cela nous ferait penser qu’il y a un problème en liaison avec un diagnostic neurologique et neurovégétactique.

 

Le système neurovégétatif ou S.N.A. (Système Nerveux Autonome) est constitué d’un ensemble d’éléments nerveux qui régule la fonction des viscères et prend en compte les fonctions vitales de base : respiration, circulation, digestion, excrétion. Le système neurovégétatif est divisé en deux systèmes : orthosympathique et parasympathique. Le système orthosympathique est le seul à être impliqué dans l’algodystrophie.

 

 

II – DÉFINITION

 

 

L’algodystrophie est un ensemble de syndromes douloureux vasomoteurs, trophiques et métaboliques d’origine sympathique

.

 

 

Cette définition simple est complétée par celle-ci, donnée sur le site :

 

 

Syndrome primitif ou secondaire, caractérisé par l’association d’une impuissance multiple, de troubles vasomoteurs, de troubles trophiques de la peau, des muscles, des articulations et de l’os (ostéoporose mouchetée), qui est susceptible d’être causé par un trouble neurovégétatif local.

 

 

Étymologies

:

 

 

La station thermale d’algues semble être une source chaude : qui est douloureuse.

 

 

Le terme dystrophie, selon les mêmes sources peut être :

 

 

 

 

    1. Un trouble nutritionnel local qui entraîne des déformations ou des dégénérescences.

 

 

    1. Une lésion organique due à un trouble de la nutrition ou du développement.

 

 

    1. Une lésion cellulaire ou tissulaire, acquise, liée à un trouble nutritionnel, local ou général.

 

 

 

 

Il s’agit donc d’un dérèglement du système neurovégétatif qui va entraîner un trouble nutritionnel provoquant des douleurs, des troubles trophiques et vasculaires au niveau d’une articulation ou d’un membre. C’est le système orthosympathique qui est responsable des troubles vasomoteurs locaux. Le déclin de la vascularisation de la région infectée entre à la fin des modifications tissulaires : les tissus articulaires, les muscles et les vaisseaux qui sont responsables de l’impuissance musculaire et fonctionnelle.

 

 

La production d’une stimulation anormale du système sympathique au niveau de la zone de chute de neige et des vertèbres sympathiques situées latéralement sur la colonne vertébrale (au niveau des circuits sensoriels et moteurs émergeant de la conjugaison trou de conjugaison) qui affecte les membres affectés. Cette stimulation anormale entraîne un ralentissement de la circulation sanguine locale et de la circulation lymphatique. Le ralentissement persistant de la circulation sanguine ralentira le métabolisme local.

 

 

Le métabolisme est la combinaison de modifications chimiques qui ont été mises en œuvre avec succès dans l’organisme, afin de subir ses besoins énergétiques, la formation et l’entretien des tissus ainsi que la transformation de certaines substances (hormones, etc…). On distingue :

 

 

l’anabolisme qui est la transformation des matériaux nutritifs en matière vivante et le catabolisme

qui est la transformation des matériaux nutritifs en énergie.

 

 

III – Les différentes causes de la maladie

 

 

L’algodystrophie a des étiologies multiples qui traduisent sa relation avec le système nerveux. L’étiologie peut être

 

 

 

 

    1. traumatique,

 

 

    1. neurologie

 

 

    1. visceral

 

 

    1. médicamenteuse

 

 

 

 

(a) – Les causes traumatiques

 

 

Elles sont les plus fréquentes. Selon certaines études, elles représentent 50% des cas. Le traumatisme initial est soit grave, soit bien ou mal connu du patient, au point d’être minime. L’apparition est variable : soit l’algodystrophie apparaît immédiatement, soit elle s’installe en quelques jours ou quelques semaines.

 

Les causes des blessures les plus graves sont : les fractures, les luxations et les entorses, la chirurgie orthopédique qui répare les traumatismes ou corrige les déformations ou les dysmorphoses articulaires.

 

 

 

(b) – les autres causes

 

 

L’algodystrophie peut être en relation avec des troubles neurologiques, viscéraux, circulatoires, infectieux. Il existe aussi des algodystrophie liées à la prise de certains médicaments, à la grossesse, à des maladies métaboliques. Et enfin, il y a des formes dites « essentielles » de l’éthologie qui restent incongrues.

 

 

1 – Éthologies neurologiques

 

 

D’autre part, il existe aussi des algodystrophies après le système nerveux central : hémiplégie, méningée hémorragie, traumatisme crânien et tumeur cérébrale. L’arrivée plus rarement qu’elle accompagne des atteintes du système nerveux périphérique comme la sciatique, les névralgies, le zone.

 

 

2 – Etiologies viscérales

 

 

Certaines atteintes viscérales peuvent déclencher une algodystrophie réflexe : l’infarctus du myocarde associé au « syndrome épaule main », des tumeurs intra thoraciques et thoraciques (tumeurs mammaires), chirurgie thoracique,

 

 

3 – Etiologies circulatoires

 

 

Essentiellement des phlébites et le gros bras après le cancer du sein.

 

 

4 – Etiologies infectieuses

 

 

Les arthrites aigues qui sont des atteintes infectieuses des articulations.

 

 

5 – Etiologies médicales

 

 

La prise de barbituriques

peut entraîner une algodystrophie et notamment le Gardenal. On rencontre des syndromes épaule main bilatéraux et plus rarement une atteinte des membres inférieurs. L’arrêt des barbituriques est la première phase du traitement.

 

 

Traits antituberculeux

: le rajeunissement peut provoquer une algodystrophie des membres supérieurs au moment du premier trait

 

 

L’iode radioactif

peut aussi causer une algodystrophie.

 

 

6 – La grossesse

 

 

Au cours du dernier trimestre de la grossesse, il peut apparaître une algodystrophie de la hanche. En cas de douleurs de la hanche il faut faire le diagnostic différentiel avec une ostéonécrose aseptique de la tête fémorale et une fracture spontanée du col fémoral accompagnant une ostéoporose de la grossesse.

 

 

7 – Les étiologies métaboliques

 

 

Le diabète, l’hypertriglycéridémie et l’hypothyroïdie peuvent être à l’origine d’une algodystrophie.

 

 

8 – Les étiologies « essentielles

 

 

Algodystrophies dont les causes restent inconnues. Environ 20% des cas, selon certaines études. Cela est dû au fait que ces algodystrophies cellulaires sont affectées par un traumatisme dont le patient ne souffre pas.

 

 

(c) – notion de terrain

 

 

L’algodystrophie apparaît plus souvent chez des sujets anxieux, dépressifs, émotifs. Il est intéressant de connaître la biotypologie particulière et le « type » sensible » des sujets plus facilité prédisposés à cette maladie. Cette connaissance me permettra de prévenir l’algodystrophie que ces projets ont créée en mettant en place un trait de que le traumatisme a eu lieu.

 

 

1 – Le type sensible

 

 

Le type sensible se définit comme une personne qui présente une prédisposition naturelle à certaines maladies. Il ne s’agit d’une hérédité. Les femmes sont plus souvent concernées par l’algodystrophie que les hommes.

 

 

Le type sensible est d’abord quelqu’un de stressé qui peut avoir des antécédents d’accidents d’ossification au cours de la croissance (scoliose – maladie de Scheuerrmann – maladie d’Osgood Schlatter, traitement d’orthodontie pour une dysmorphose dento-maxillaire par exemple).

 

En homéopathie ce type sensible s’associe à un grand médicament de terrain : Calcarea Phosphorica.

 

 

Les stress permanents, parce qu’ils agissent sur le système orthosympathique, ont favorisé l’apparition de l’algodystrophie.

 

 

La première action du stress est de mettre les systèmes orthosympathiques en état liminal. Une nouvelle excitation provoquera une réponse de ce système.

 

 

L’action du stress sur les glucocorticostéroïdes est une cause commune.

 

 

Le cortisol affecte le métabolisme des glucocorticoïdes de la structure osseuse en régulant l’absorption intestinale du calcium, et a une importante action anti-inflammatoire. Le stress diminue la production.

 

 

Sollicité régulièrement le système orthosympathique favorise la vasoconstriction générale et celle du membre traumatisé.

 

 

IV – L’histoire de la maladie

 

 

Tout commencement par un trauma bénin ou grave. Ce traumatisme est souvent très bien soigné. La fracture ou la luxation est bien réduite. La blessure a été diagnostiquée et traumatisée, avec gravité, que ce soit par déchirure, arrachement, coupure ou placage ; l’intervention chirurgicale orthopédique est normalisée et les corrections sont satisfaisantes.

 

 

 

V – les différents type de diagnostic

 

 

Le diagnostic est établi en commençant par les cliniques, les radiographies et la scintigraphie.

 

 

 

(a) – Les signes biologiques

 

 

Les signes biologiques sont absents du tableau : V.S et C.R.P. sont normales. Leur augmentation implique un changement de diagnostic et de traitement.

 

 

(b) – Les signes cliniques

 

 

Il apparaît, dans un premier temps, des symptômes inflammatoires locaux avec gonflement, douleur et chaleur :

 

 

 

 

    1. L’articulation est chaude, très douloureuse, gonflée avec une sudation de la peau.

 

 

    1. Le couple a été aggravé par les mouvements, qui les ont mis en charge (pour les membres inférieurs).

 

 

    1. Le couple continuera à souffrir de la nuit.

 

 

    1. Couleurs peut être responsable de l’immobilisation du Membre et, en particulier, pour une période supplémentaire. (syndrome de compression).

 

 

 

 

Après une période inflammatoire, dont la durée est très variable, l’évolution se fait vers une phase dite froide.

 

 

Les symptômes changent avec l’installation de l’algodystrophie.

 

 

 

 

    1. Les trophées apparaissent :

 

 

    1. froideur du membre,

 

 

    1. peau lisse pâle et atrophique,

 

 

    1. perte des poils.

 

 

    1. L’attention diminue mais la persistance d’un signe du jouet (après un appui du pouce sur le membre, la persistance d’une dépression de la peau et des tissus ressemblant à un jouet)

 

 

    1. L’apparaît souvent des rétractions capsulo-ligamentaires. L’articulation présente un enraidissement progressif par la fibrose des tissus.

 

 

 

 

(c) – Un signe clinique interessant

 

 

Un signe clinique intéressant pour effectuer un diagnostic précoce de la maladie est la percussion légère de l’os, à distance de la fracture, avec la pulpe du doigt déclenche une douleur qui se propage le long de l’os. C’est en fait le premier signe osseux concret qui apparaît avant même que l’ostéoporose ne soit visible sur la radio.

 

 

Associé aux autres signes décrits au dessus la percussion confirme que le présente déjà une atteinte de son métabolisme favorisme l’apparition de l’ostéoporose.

 

 

 

(d) – signes radiographiques

 

 

La radiographie doit comparer la trame osseuse de l’articulation contro latéraler. Si le degré d’atteinte semble être une intégration des os sous chondrales, il peut être un aspect moucheté de leur parfois une disparition partielle ou totale du tissage et des corticales osseuses.

 

Il est important de noter que les articulaires se respectent mutuellement. Cependant l’algodystrophie peut se manifester au niveau d’une articulation arthrosique et dans ce cas le pincement de l’interligne articulaire sera en relation avec l’arthrose et non avec l’algodystrophie.

 

 

1 – Scintigraphie

 

 

L’hyperfixation est apparue avant les signatures radiographiques, ce qui est la caractéristique essentielle qui n’est pas exclusive aux algodystrophies.

 

 

2 – L’I.R.M.

 

 

Les anomalies sont aussi précoces. Présence d’un œdème médullaire sur certaines pièces osseuses.

 

 

VI – L’analyse de cas cliniques

 

 

(a) – Une expérience malheureuse

 

 

Un patient avait présenté une fracture de Pouteau Colles (fracture de l’extrémité inférieure du radius) avec une algodystrophie. La réducation était faite avec beaucoup de douceur. Le kinésithérapeute qui le sui suivait l’a confié à son assistant, en insistant sur la nécessité d’appliquer une rééducation douceur. Voulant « gagner du temps » et « débloquer » le poignet il a effectué un forcing brutal du poignet. Le lendemain le patient se plaignait d’une aggravation importante de ses douleurs, le membre était gonflé et les douleurs s’irradiaient jusque dans l’épaule. L’âge est passé au stade du syndrome de l’épaule principale. La longue période de trajectoire vers l’amour. A cette époque le chirurgien qui le sui suivait a effectué des infiltrations hebdomadaires du ganglion stellaire de buflomédil (fonzylane) pour obtenir une vasodilatation locale. Association biomédicale de prises de calcium et de potassium pour obtenir une recalcification osseuse.

 

 

 

(b) – Un complexe de cas

 

 

Un cas d’algodystrophie sévère après une fracture de la rotule. Le patient portait un bas à varice, qui s’arrêtait en dessous du genou, pour contrôler un œdème important de la jambe. Les membres sont très fragiles et présentent une chaleur et des phlyctènes anormaux. Le doppler fait écho à la phlébite, afin de contrer le diagnostic d’un traité érysipèle par les antibiotiques. La pose d’une bande Biflex n°16 jusqu’à la cuisse réduire l’œdème. Le traitement de l’algodystrophie sera mixte : association des traitements médicaux (calcitonine), ostéopathique, ionisations et homéopathie. La guérison totale est obtenue en quelques mois.

 

 

VII – les traitements

 

 

La procédure doit être engagée au principal et aux conditions locales et générales.

 

Nous développerons ensuite deux types de pistes d’action possibles :

 

 

Le trait médical allopathique et un trait médical holistique qui est utile pendant plusieurs années et les résultats sont excellents.

 

 

 

(a) – les traumatismes initiaux et leur traitement

 

 

L’arrivée que la gravité du traumatisme initial masque d’autres lésions, les douleurs de la région la plus atteinte cachent les douleurs d’autres atteintes. Il me semble que cela est dû aux débris intervertébraux qui seront à l’origine de la stimulation du système nerveux orthosympathique.

 

L’immobilisation des membres en attendant la consolidation est soutenue par un trait anticoagulant basé sur l’H.B.P.M. (Héparine de Bas Poids Moléculaire : Lovenox) pour prévenir une phlébite.

 

Afin de prévenir l’algodystrophie il est intéressant de pratiquer un examen et un traitement ostéopathique après le traumatisme et/ou l’intervention chirurgical semblable à celui décrit dans les traitements. En plus de toute perturbation mécanique irritant le système orthosympathique, le trait ostéopathique est une action préventive efficace.

 

 

 

(b) – Le traitement médical classique

 

 

1 – En médecine allopathique :

 

 

Les injections intra musculaires ou sous cutanées de calcitonine sous les formes :

 

 

 

 

 

    1. calcitonine de saumon : Calsyn à 100 unités/jour

 

 

    1. calcitonine de porc : Calcitar à 50 unités/jour

 

 

    1. calcitonine humaine : Cibacalcine à 0,5 mg/jour.

 

 

 

 

La durée du traitement est de 3 à 4 semaines.

 

 

Les effets indélébiles de ce trait sont la nausée, le vomissement et les bouffées de chaleur. L’importance de ces effets indésirables peut conduire à la trajectoire.

 

Ils peuvent être minimes en termes d’injection de calcitonine après le déjeuner, après le milieu du repas et à côté de la première ou de la deuxième vague.

 

 

Les résultats devront se manifester dans les 15 premiers jours du traitement. En l’absence d’efficacité au bout de 21 jours, il n’est pas nécessaire de poursuivre le voyage.

 

 

Une étude de l’A.F.S.S.A.P.S. a examiné l’efficacité du football.

 

« Au vu des différentes études examinées, le C.S.P. a conclu que ces spécialités n’ont pas apporté la preuve suffisante de leur efficacité thérapeutique dans 5 indications qui ne sont donc pas maintenues :

 

 

– la prévention de l’ostéoporose postménopausique,

– le syndrome de Sudeck (algodystrophie),

le traitement de la douleur provoquée par l’ostéoporose,

– le traitement de l’ostéoporose postménopausique avérée

– le traitement de la douleur due aux métastases osseuses. « 

 

 

L’efficacité des équipements de laboratoire (Avlocardyl) a été prise en compte dans ce contexte et a été pleinement développée.

 

 

La prescription d’antalgiques est très utile.

 

 

En outre, elle complique tout le processus de traitement par le système de soins de santé en corrigeant les erreurs alimentaires du patient et en lui, et en lui, en termes de vitamines D, E, B et de calcium.

 

 

Il est également bon de prendre en compte les travaux du Docteur Seignalet, et d’éviter l’abus de produits laitiers.

 

 

2 – Traitement kinesithérapique

 

 

La prescription de rééducation est constante dans tout les séquelles de traumatismes. La kinésirapeute pourra alerter les médias, au moment du retour à l’éducation, les premiers ministres sympathiques aux algodystrophies apparaîtront.

 

 

Elle aura à cœur d’identifier les principes de l’algodystrophie et d’adapter sa réduction en termes de qualité et de justification. Dans le cas de l’algodystrophie, l’amélioration de la souplesse obtenue par le processus de production est complètement perdue dans le lendemain.

 

 

Si l’algodystrophie est déclarée, après la phase chaude, il pourra associer une physiothérapie multiple dont le but sera essentiellementellement antalgique et circulatoire. La balnéothérapie chaude est un adjuvant thérapeutique intéressant en phase froide.

 

 

B – traitement en medecine holistique

 

 

Nous le présentons dans l’ordre idéal sans que ce dernier soit impératif :

 

 

 

 

    1. Ostéopathie.

 

 

    1. Homéopathie

 

 

    1. Phytothérapie

 

 

    1. Kinésithérapie

 

 

    1. Acupuncture

 

 

 

 

1 – Traitement ostéopathique

 

 

Le traitement ostéopathique permet d’éliminer les lésions mécaniques responsables des stimulations anormales du système neurovégétatif. Après un examen, l’ostéopathe se concentrera sur les zones vertébrales du système neurovégétatif qui contrôlent les membres.

 

Pour le député ci-dessus, les urgences du plexus brachial et du ganglion étoilé : essentiellement C7 – D1 1ère côte (ganglion étoilé) et D5 – 5ème côte (centre d’adaptation sympathique du député ci-dessus).

 

Pour le membre inférieur, le membre inférieur de la colonne lombaire et le membre inférieur du membre inférieur peut être le membre inférieur qui contrôle le système orthosympathique du membre supérieur : essentiellement D9 – D10 et 9ème – 10ème côtes.

 

 

Enfin, la mobilité des articulations liées au traumatisme : les petites articulations du poignet pour le membre supérieur et inférieur et du chevet et du pied pour le membre inférieur.

 

Il tient compte de l’importance de la réintroduction dans le contrôle de la qualité du corps de l’enfant, il est important de vérifier le bon fonctionnement du corps de l’enfant (mobilité, sensibilité) et les zones vertébrales à la réintroduction. (L2 – D2).

 

 

La fréquence du traitement ostéopathique est de une fois par mois.

 

 

Vision radiographique d’une lésion du scaphoïde qui provoque un gonflement du pied. La douleur et l’impuissance du pied sont persistantes après la fin de la période d’immobilisation et de réduction. La manipulation du pied permet d’enlever les attelles et l’impuissance de fonctionner immédiatement

 

Le dessus du pied présente un gonflement qui augmente avec l’activité physique et une coloration des téguments de trouble trophique. Ici il n’y a pas d’algodystrophie.

 

 

2 – Traitement homéopathique

 

 

a – Au moment du traumatisme

 

 

Le traitement homéopathique commence dès le traumatisme. On peut prescrire :

 

 

Arnica

: Responsable de l’action sur les différents traumatismes

 

 

Bryonia

: pour une inflammation des séreuses avec tendance aux épanchements avec amélioration par le repos.

 

 

Symphytum

: le grand remède des traumatismes osseux et des retards de consolidation.

 

 

Ruta Graveolens

: sensations de meurtrissure, muscles osseux, raidisseurs d’os et de tendons, entorse et muscles entartrés

 

 

B – Lorsque le diagnostic d’algodystrophie est posé

 

 

Calcarea Phosphorica

en doses de 15 à 30 CH, 2 doses à 4 doses/mois (si algodystrophie sévère).

 

 

Poursuivre Ruta et Symphytum

en 7 CH 5grains 2 à 3 fois/jour

 

 

Surrénales 7

CH à raison de trois ampoules par semaine. Action on donc surrénales sur le stress et sur les glucocorticoïdes.

 

 

Chez des hypoparathyroïdiens on peut ajouter : Parathyroïdinum

5 CH en granules ou en organothérapie.

 

 

Pendant la phase chaude prescrire : Belladona et Bryonia

.

 

 

Si l’algodystrophie est ancienne et présente une fibrose importante : Causticum

en doses 9CH 1dose:semaine.

 

 

(c) – traitement phytothérapie

 

 

La grande plante des déminéralisations est la Prêle ou Equisetum. Elle peut elle être prescrite en teinture mère à raison de 20 à 50 gouttes 2 fois/jour ou en gélules. Il faut choisir la Prêle des Champs ou Equisetum Arvense, dont l’action est plus focalisée que les autres prêles : Equisetum Maximum, Palustre, Limosum et Hiemale.

 

 

(d) – Traitement kinésithérapique complémentaire

 

 

Le traitement kinésithérapique accompagne le traumatisme général. En plus des recommandations et indications données, le trait peut être compliqué par des ionisations.

 

L’ionisation est une physiothyrapie naissante, qui peut être mise en place rapidement, s’il ne s’agit pas de matériel méta-tallique dans le monde. L’association du courant galvanique, qui a un effet vasodilatateur et anthalgique, et des produits qui seront stockés localement par le passage du courant donnent de bons résultats.

 

L’intensité de la réduction restera proportionnelle aux agriculteurs locaux et aux agents inflammatoires.

 

 

1 – Technologie d’ionisation

 

 

L’ionisation est une technique qui peut être utilisée pour prévenir les dangers des brûlures de lumière électrique qui sont présentes dans les plaies atones laissant des cicatrices indélébiles. C’est la raison pour laquelle il faut prendre certaines précautions :

 

 

 

 

    1. Évitez l’application de corps gras avant l’ionisation.

 

 

    1. Les éliminer par un lavage soigneux s’il y a lieu.

 

 

    1. Compléter le dégraissage par un frottement avec la liqueur de Hoffman (mélange de 50% d’alcool et d’alcool) afin d’éliminer tous les déchets, ce qui facilitera le passage d’un point et provoquera une brûlure.

 

 

    1. Protéger toute altération de la peau par une application de collodion (vernis qui isolera la partie léée du courant) ou par un morceau de scotch.

 

 

 

 

Sur l’un d’eux, ils sont humidifiés par une quantité modeste de CaCl2 à 20% sur l’électrode positive et de IK à 20% sur l’électrode négative. Les solutions sont préparées par la pharmacie sur prescription médicale.

 

Le chlorure de calcium, CaCl2, permet de déposer du calcium local afin de favoriser la calcification des os avec de l’iodure de potassium, ce qui peut affecter la fibrose et la raideur des tissus. L’iodure de potassium dans les ionisations est également utilisé pour combattre les cicatrices inflammatoires et exubérantes (chéloïdes).

 

 

Fixer les héponges, sans qu’elles se touchent, par des bandes élastiques caoutchoutées sur l’articulation.

 

 

L’intensité du courant, contrôlée par l’amplitude de l’apparition, est proportionnelle à la surface des chaussures et à la sensibilité du patient. Dans le même temps, l’hypersensibilité du patient au passage du courant est également entretenue. Il est nécessaire de s’assurer que l’intensité de l’ionisation est supportable.

 

La sensation ressentie par le patient doit être un quatre-millionième entre le corps et la peau. Le picotement intense

est un avertissement avant la nuit.

 

 

L’ionisation dure au minimum 30 minutes et sera répétée au moins 3 fois par semaine

.

 

 

(e) – Acupuncture

 

 

Les méthodes traditionnelles utilisées dans les Chinoises doivent être orientées vers l’énergie des rênes et de l’auberge. Il n’est pas possible de donner les points à prendre en compte lors de la prise des pouls et de l’examen du patient. Parallèlement, le point de vue peut être utilisé pour améliorer la tension nerveuse et le stress.

 

 

VIII – Comment se déroule le pronostic complet ?

 

 

La possibilité de deux traitements de l’algodystrophie augmente les chances de guérison. Toutefois, cet article n’a pas pour but de mettre en concurrence deux techniques théoriques, mais de fournir au praticien et au patient une alternative possible en cas d’accident ou de difficulté à supporter le traitement par la calcitonine.

 

 

Afin d’utiliser la trajectoire holistique de ces dernières années, avec l’âge auquel cette expérience est née. La prise en charge de chaque élément et plus particulièrement de l’élément neurovégétatif permet une action plus large et plus étiologique. Oui, de toute façon, la combinaison de deux traits supplémentaires, sensibles et sensibles entre des hommes d’État qui donnent 90 % de résultats favorables à l’environnement n’est pas acceptable.

 

 

Il est donc impossible de penser qu’un processus qui est volontaire et qui doit être mené par nous puisse être ressuscité à cette époque.

 

 

Dans les cas les plus graves, il faut compter six mois pour compléter la procédure afin d’obtenir la garantie. Les sympathies diminuent progressivement afin que les activités puissent reprendre et que la réduction active s’intensifie. La réponse des activités doit être proportionnelle à l’amélioration et absolument nécessaire pour respecter la qualité de l’éducation.

 

 

IX – le suivi therapeutique

 

 

Le kinésithérapeute traiterale patient au moins 3 fois par semaine.

 

 

Le suivi sera effectué une fois par mois et comprend l’examen de l’articulation concernée pour mesurer les progrès de la mobilité qui est proportionnelle à la diminution de la fibrose et de l’ostéoporose dont l’amélioration peut se mesurer par la réduction de la douleur osseuse à la percussion.

 

 

Le soutien psychologique du patient est essentiel pour lui faire constater les améliorations, le rassurer sur l’évolution de ses maladies, ce qui réduira le stress.

 

Le traitement ostéopathique est répété car les lésions vertébrales ont tendance à se reproduire.

 

 

L’adaptation des prescriptions de médicaments se fera sur une base évolutive, mais globalement, un certain nombre de médicaments seront prêts à être ajoutés.

 

La consultation nous permettra d’intervenir en cas d’aggravation d’un nouveau traumatisme à l’articulation ou aux membres.

 

 

 

X – conclusion

 

 

Beaucoup de pathologies ne se guérissent pas parce qu’elles ne sont pas étudiées de manière holistique. Les complexités des éthologies et celles qui nécessitent le travail d’une équipe médicale multidisciplinaire ou les chercheurs d’une équipe d’experts qui accumulent une certaine expertise dans différents domaines. Cela signifie que le patient doit être chargé d’une charge complexe par les différents thérapeutes.

 

 

L’algodystrophie peut se guérir et n’est pas une maldie irrémédiable. Notre expérience thérapeutique nous l’a souvent prouvé. Il est important que nous soyons des attitudes qui comprennent le mal et trouvent les pratiques qui appliquent les principes que nous avons la plausibilité de développer.

 

 

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