
Dans le passé, il était courant que certains parents négligent la santé bucco-dentaire de leurs jeunes enfants, ne prenant pas soin des dents de leurs enfants sous l’argument – erroné – qu’elles seraient remplacées par des dents permanentes et que, par conséquent, l’apparition de l’une ou l’autre carie n’était pas un souci.
Aujourd’hui, on sait cependant que la santé de la petite enfance joue un rôle clé dans la formation des corps à part entière. Alors, suivez ce billet et découvrez les informations à prendre au sérieux !
Pourquoi les dents de lait sont-elle considérée comme si importante ?
Les dents de lait ont plusieurs fonctions liées au développement de l’enfant. En plus d’aider à la mastication des aliments solides, qui commencent à être introduits vers l’âge de six mois, ils collaborent à la diction, ce qui permet aux petits de communiquer clairement.
Les soins sont également importants pour éviter les caries. Lorsqu’elles ne sont pas traitées, elles génèrent des difficultés d’alimentation, des problèmes nutritionnels et, par conséquent, une croissance inférieure aux attentes. Dans les cas plus graves, ils peuvent provoquer des infections et des problèmes plus sérieux.
Qu’est-ce qui est considéré comme normal et qu’est-ce qui nécessite des soins ?
Les dents de lait commencent à être remplacées lorsque l’enfant a environ six ans. Elle peut s’aider en secouant ceux qui sont mous jusqu’à ce qu’ils tombent. Plus naturelle que d’autres interventions, cette méthode permet d’éviter les douleurs et les saignements excessifs.
D’autre part, l’apparition de caries, comme je l’ai dit, nécessite des soins. Comme les points noirs résultent de l’action des bactéries qui se nourrissent des restes d’aliments contenant des sucres, l’hygiène et les bonnes habitudes sont essentielles.
Quels sont les principaux soins pour les dents des enfants ?
En matière de santé, il n’est jamais trop tôt pour commencer à enseigner aux enfants. Dans le même temps, les parents doivent donner l’exemple. Découvrez dès maintenant quelques soins dentaires pour enfants à mettre en pratique le plus rapidement possible !
Créer une routine de brossage
L’idéal est de se brosser les dents (avec une petite brosse à poils souples) à chaque repas ou au moins trois fois par jour : au réveil, après le déjeuner et avant d’aller au lit.
Les mouvements avec la brosse doivent être doux, de la gencive à la pointe des dents. Sur les surfaces de mastication, brosser d’avant en arrière.
Il convient de souligner l’importance d’une surveillance étroite du brossage jusqu’à ce que les enfants aient au moins six ans. C’est autant dans la vie de tous les jours que lors des voyages de vacances.
Utiliser le fluor dans la bonne mesure
La présence de fluorure dans la salive empêche la formation de caries. C’est pourquoi l’utilisation d’un dentifrice fluoré (avec une concentration d’environ 1100 PPM) est indiquée dès l’éruption de la première dent de lait.
Toutefois, la quantité appropriée doit être respectée. Selon le Guide de recommandations pour l’utilisation des fluorures en France, préparé par le ministère de la Santé :
-
- jusqu’à l’âge de trois ans ou jusqu’à ce que l’enfant soit capable de cracher, le volume de la pâte doit être équivalent à un grain de riz (0,1 g) ;
- à partir de ce moment, la quantité indiquée pour le brossage doit être de la taille d’un petit pois (0,3 g).
Complet avec du fil dentaire
Lorsque la voûte plantaire de l’enfant commence à se resserrer, avec les dents l’une à côté de l’autre, il est temps de passer le fil dentaire avec la brosse.
Il est ainsi possible d’enlever la saleté des endroits que les poils des brosses ne peuvent atteindre.
Une langue et des joues propres
Lorsque les bébés commencent à manger des aliments autres que le lait de leur mère, leur langue, ainsi que leurs gencives et la paroi interne de leurs joues, doivent être aseptisées.
Avant que la première dent n’éclate, le nettoyage peut être fait avec une gaze humide enroulée autour du doigt. Lorsque la première dent émerge, utilisez la brosse à dents avec le dentifrice indiqué par le pédiatre ou l’odontopédiatre responsable.
Éviter la consommation de sucreries
Il n’est pas nécessaire de couper la douceur de l’enfance, mais de réserver les balles et la compagnie pour les occasions spéciales. Il en va de même pour les boissons non alcoolisées, le chocolat et les jus (même s’ils sont naturels, encouragez la consommation de fruits au naturel).
En plus d’être directement liée à la santé bucco-dentaire, la réduction de la consommation de sucres dans la vie quotidienne est importante pour prévenir le développement de maladies telles que l’obésité et le diabète.
Respecter les heures de repas
Évitez de pincer entre les repas principaux. En effet, les aliments ultra-traités (tels que les craquelins, les céréales et les snacks) ont tendance à être les plus consommés sous forme de snacks.
Bien qu’ils soient hyper caloriques, ils sont pleins de calories vides, ce qui n’apporte aucun bienfait à l’organisme et, pour ne rien arranger, supprime la faim lorsque les enfants doivent se nourrir avec de la vraie nourriture.
Même les jus ne sont pas conseillés pour étancher la soif entre les repas. Il est préférable de boire de l’eau. Il est également important d’encourager les petits à dormir sans biberon, pour éviter de passer la nuit avec des dents sales.
D’ici là , passez une gaze humide sur les dents à l’aube pour éliminer les traces de lait et empêcher l’enfant de développer ce qu’on appelle la carie du biberon.
Combattre les habitudes néfastes
La succion du doigt et de la tétine peut altérer le développement des dents, les projetant hors de la bouche, et compromettre l’harmonie de la structure osseuse du visage, en particulier du menton.
Pour combattre ces habitudes, au lieu de les critiquer, il faut faire des compliments lorsque l’enfant ne suce pas. Une autre stratégie consiste à faire prendre conscience à l’enfant qu’il a une habitude néfaste et qu’il faut se battre contre lui, même à l’heure du coucher.
Il vaut la peine d’enrouler un bâton autour de son doigt qu’elle suce habituellement, en demandant au pédiatre de lui indiquer un liquide amer à passer sur place, entre autres mesures.
Attention aux chutes
Les enfants aiment courir, sauter et jouer toute la journée. C’est aux parents de minimiser les risques de se faire casser les dents. Il vaut la peine d’installer des portails aux entrées et sorties des escaliers, des avant-toits avec des moustiquaires sur les balcons, entre autres mesures.
Si la dent se casse, le fragment doit être localisé pour éviter l’étouffement. Parfois, un traitement de canal est nécessaire pour éviter de compromettre la dent permanente en cours de route.
Si la dent cassée est la dent permanente, elle doit être placée dans du lait ou du sérum physiologique afin que le dentiste puisse la réimplanter immédiatement.
Se rendre régulièrement chez le dentiste
Selon l’Association française de dentisterie pédiatrique, la première consultation doit être faite juste après la rupture de la gencive pour la naissance de la première dent de lait, c’est-à -dire avant d’avoir terminé la première année de vie.
À partir de ce moment, la fréquence des visites dépendra de la nomination du spécialiste. En moyenne, entre un et trois ans, des consultations trimestrielles sont recommandées pour superviser la première dentition. Par la suite, les réunions deviennent biannuelles.
Il appartient aux parents et aux frères et sÅ“urs aînés de renforcer l’idée que c’est cool d’aller chez le dentiste, afin d’éviter la continuité de la vieille culture de la peur créée autour de cet important professionnel.
Comment offrir ce qu’il y a de mieux pour la santé bucco-dentaire de vos enfants ?
Sans assurance dentaire, il est difficile de maintenir une fréquence adéquate des visites chez le dentiste, en raison du coût élevé des consultations.
Ainsi, la plupart des gens ne font appel à une aide professionnelle que lorsque leur enfant est déjà en difficulté. Et puis, les chances de dépenser encore plus pour les traitements, les opérations et autres procédures augmentent considérablement.
Ainsi, outre le fait de prendre soin de sa santé et de faire des économies, le fait de disposer d’une assurance dentaire facilite la recherche de professionnels de différentes spécialités (comme les dentistes pédiatriques), la réalisation d’examens ou la recherche des traitements indiqués.
Il convient de rappeler que la plupart des traitements pour adultes s’appliquent également aux enfants, comme l’utilisation d’appareils orthodontiques (même pendant la phase de dentition de lait).
Il est donc intéressant d’avoir un plan dentaire ou même un plan combiné (proposé par des entreprises soucieuses de la qualité de vie de leurs employés, combine deux produits en un : le plan santé et le plan dentaire), en plaçant les enfants comme personnes à charge.
Comme on le voit, on ne peut pas négliger les soins dentaires des enfants. Ce n’est qu’en combinant de bonnes habitudes alimentaires et une bonne hygiène bucco-dentaire avec des visites régulières chez le dentiste que l’on peut prévenir les maladies et favoriser la croissance saine des enfants.
A quel âge apparaissent les dents ?
Dents lactiques
-
- LES INCISATEURS :
-
- Les incisives centrales apparaissent vers 6 Ã 8 mois et tombe vers 6 Ã 7 ans
-
- Lateral incisives vers 8 Ã 10 mois et tombe vers 7 Ã 8 ans
-
- LES INCISATEURS :
-
- LES CANINES
-
- Les canines apparaissent vers l’âge de 10 à 12 mois et tombent vers 10 à 12 ans
-
- LES CANINES
-
- LES PRÉMOLAIRES
-
- L’enfant n’a pas de prémolaire
-
- LES PRÉMOLAIRES
-
- LES MODE
-
- Les premières molaires apparaissent vers 12 à 16 mois et tombent vers 9 à 14 ans
-
- Les deuxièmes molaires apparaissent vers 20 à 24 mois et tombent vers 10 à 12 ans
-
- LES MODE
Dentiers permanents
-
- Les incisives centrales permanentes succèdent aux lactéales vers l’âge de 7 à 8 ans
-
- Les incisives latérales permanentes succèdent aux lactaires de 8 à 9 ans
-
- Les canines permanentes succèdent aux lactéales vers l’âge de 8 à 9 ans
-
- Les premiers préolaires apparaissent vers l’âge de 10 à 12 ans
-
- Les deux préolaires apparaissent vers l’âge de 10 à 11 ans
-
- Les premières molaires permanentes succèdent aux lactéales vers l’âge de 6 à 7 ans
-
- Les deux molaires permanentes succombent aux lactéales vers l’âge de 12 ans
-
- Les trois préolaires ou « bosses affaissées » apparaissent entre 13 et 25 ans
L’évolution de la cartographie dentaire
Afin de simplifier le nombre de dents, les odontologistes ont donné les numéros et une cartographie particulière qui permet aux plus petits de vivre. Pour cette raison, ils ont pu développer leurs cadrans.
Les cadrans, âges d’apparitions et de chute des numéros des dents lactéales
MAXILLAIRE DROIT = 5 | MAXILLAIRES GAUCHE = 6 | |||||||||
Âges d’apparition et Âges de chute | 20 à 24 mois | 12 à 16 mois | 16 à 20 mois | 8 à 10 mois | 6 à 8 mois | 6 à 7 ans | 7 à 8 ans | 10 à 12 ans | 9 à 14 ans | 10 à 12 ans |
Nombre de dents | 55 | 54 | 53 | 52 | 51 | 61 | 62 | 63 | 64 | 65 |
Molaires | Canines | Incisives | Incisives | Canines | molaires | |||||
85 | 84 | 83 | 82 | 81 | 71 | 72 | 73 | 74 | 75 | |
MANDIBULE DROITE = 8 | MANDIBULE GAUCHE = 7 |
Les cadrans et le nombre de dents permanentes
CADRANS :
Le 1 pour le maxillaire droit | Le 2 pour le maxillaire gauche |
Le 4 pour la mandibule gauche | Le 3 pour la mandibule gauche |
Les numéros de dent
8 pour la dent de « sagesse | 7 pour la deuxième molaire | 6 pour la première molaire | 5 pour la deuxième année de préemption | 4 pour la première prémolaire | 3 pour la canine | 2 pour l’incisive latérale | 1 pour l’incisive centrale |
CARTOGRAPHIE ET APPARITION
N° | 18 | 17 | 16 | 15 | 14 | 13 | 12 | 11 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 |
Age d’apparition en années | 13 à 25 ans | 12 ans | 6 à 7 ans | 11 à 12 ans | 10 à 11 ans | 10 à 12 ans | 8 à 9 ans | 7 à 8 ans | 7 à 8 ans | 8 à 9 ans | 10 à 12 ans | 10 à 11 ans | 11 à 12 ans | 6 à 7 ans | 12 ans | 13 à 25 ans |
N° | 48 | 47 | 46 | 45 | 44 | 43 | 42 | 41 | 31 | 32 | 33 | 34 | 35 | 36 | 37 | 38 |
Vous voulez en savoir plus sur les dents qui ne sont pas bien positionnées, sur ce que vous devez faire ?
La croissance cranio-faciale et le placement des dents de votre enfant doivent être contrôlés régulièrement pour éviter que de mauvaises positions dentaires et des dysmorphoses (déformations faciales) ne perturbent l’esthétique de votre enfant.
L’harmonie de la vision et des arcades dentaires est essentielle dans la prévention du syndrome de Costen. Nombre d’enfants présentant des troubles de la posture (attitudes familières et scoliotiques) qui peuvent être liés à une dysharmonie dentaire ou faciale. Les nourrissons présentant une dentoharmonie maxillaire (D.D.M.) et/ou une déglutition infantile peuvent présenter des signes du syndrome de Costen :
-
- Un craquement de la mandibule au cours de l’ouverture de la bouche.
-
- Une attitude de portefeuille ou un choix lié à un déséquilibre postural en relation directe avec le manchoire.
-
- Des migraines.
-
- Des douleurs du rachis.
-
- Les rhinites.
-
- Sinusite, etc.
Placement des dents et croissance cranio-faciale
Les bosses, au cours de leur irruption dans la cavité buccale, sont guidées par les structures musculaires
Il s’agit de la dépendance de nombreux facteurs :
-
- – La génétique
-
- – La biotypologie
-
- – Psycho-affectif et développement psychologique
-
- – Les antécédents médicauxux
-
- – La posture
-
- – Les fonctions oro-faciales (déglutition, mastication, respiration nasale ou buccale
-
- – Les respirations thoraciques supérieure, inférieure et abdominale.
1] La génétique
Génétique : si vous ou votre famille présentez des dyspharmonies dento-maxillaires, si vous avez un traitement orthodontique et si vous avez une chirurgie orthognatique (correction des dyspharmonies faciales), vous devez suivre votre enfant par votre chirurgien-dentiste pour terminer si vous n’avez pas le même problème.
Dans l’hérédité il peut y avoir un mélange des hérédités maternelle et paternelle. Un enfant peut avoir une hernie des dents de son père et du visage de sa mère. Toutes les dents ne peuvent pas être placées dans les arcades, elles seront obturées et l’orthodontiste demandera des extractions pour harmoniser la relation entre les dents et leur support. Cependant, nous devons être très prudents en ce qui concerne les extractions de dents des enfants.
2] La Biotypologie
Qu’est la biotypologie ?
C’est la science des types humains fondée sur l’étude des dominantes bio-psychologiques des individus (déterminations embryologiques, caractéristiques morpho-physio-psychologiques) afin de définir certains types bio-psychologiques (ou biotypes*) et de parvenir à une classification scientifique des êtres humains. Il existe de nombreuses classifications en biotypologie pour la simplification du sujet qui nous complètent dans la mesure où nous ne savons pas qu’elles sont les plus utilisées chez l’homme. Il existe trois grandes classes : les phosphoriques carboniques et les fluoriques.
Carbonique :
Il s’agit d’un sujet délicat, dans la nature du pays, généralement d’une taille inférieure à la moyenne, mais il n’est pas obligatoire. Elle donne donc l’impression d’un développement qui se fait dans les grands ou les petits pays, au détriment du long terme. Sur sa proposition au rondeur ou à l’aspect carré
L’appareil bucco-dentaire :
-
- Bertrand de NEVREZE (1877-1951) a étudié ces problèmes en raison notamment des professions médicales, stomatologiques, homéopathiques et orthodontiques. On peut résumer ainsi ses travaux sur la morphologie bucco-dentaire du carbo-calcique
-
- Dents trapues, courtes, épaisses, aux racines courtes et épaisses, de couleur blanche (les plus blanches de toutes).
-
- L’alvéolaire souvent bien ou trop minéralisé. Tendance à l’hypercétose.
-
- Leur implantation est solide sous une forme dense, au cours de la vie, les bosses ont une tendance à l’abrasion physiologique, favorisée par plus par leurs bosses éclaboussées et par une puissante musculature faciale.
-
- La résistance naturelle à la carie dentaire, mais peut-être aussi à la carie du collet.
-
- Peu de problème sur le plan orthodontique = pas ou très peu de malpositions, voûte palatine aplattie, occlusion quasi parfaite.
-
- En cas de chirurgie, la syndesmotomie est souvent nécessaire pour prévenir le risque de fracture des parois alvéolaires.
LE PHOSPHORIQUE
-
- La vision est triangulée avec prédominance du stade supérieur, qui correspond au type cérébral du SIGAUD. C’est l’exemple de Valéry GISCARD D’ESTAING, dont le biotype longiligne est opposé à celui de son ancien Premier ministre, R. BARRE. A la brachyycéphalie de ce dernier s’oppose la dolicocéphalie du longiligne. Les mains sont longues, surtout les doigts qui sont plus longs que le paume. Habituellement le bras et l’avant-bras forment un angle plat (.
-
- Autres différences : à l’hypolaxie légère du développement s’oppose l’hyperlaxité légère du phosphorique, qui explique les articulations pleines, mais aussi les articulations plus difficiles comme la tendance à la tension elle-même, les pathologies de la colonne vertébrale.
L’appareil bucco-dentaire :
-
- Dents longues, rectangulaires ou triangulaires, plus jaunes que les cellules carboniques.
-
- Ligament alvéolaire-dentaire souple.
-
- Voûte palatine le plus souvent ogivale.
-
- Tendent à l’endognatie ou à d’autres malpositions.
-
- Tendance à la carie, à la fémorragie post-opératoire (PHOSPHORUS
LE FLUORIQUE
-
- L’asymétrie est plus ou moins prononcée et l’hyperlaxité des variables est à son maximum. On associe souvent à ce biotype l’image du polichinelle, capable de positions extrêmes. certes, tous les fluoriques ne sont pas aussi caricaturaux et même on peut affirmer que la plupart des danseurs et danseuses répondent à ce biotype, ce qui souligne la grâce ou la beauté du corps.
-
- Dans les cas critiques, les malformations osthéo-articulaires sont plus ou moins importantes, l’hyperlaxie ligamentaire étant prédisposée aux précoces et aux pathologies parfois graves.
-
- Notez que le cerveau et les avant-cerveaux offrent un angle supérieur de 360°.
L’appareil buccal-dentaire :
-
- On trouve tout chez le fluorique, comme à la Samaritaine = dentier normal, maxillaires parfaitement développés. Ou des malformations dentaires, alvéolaires et maxillaires de toutes sortes. Les anomalies de forme, de nombre et d’implantation sont fréquentes = centrales énormes et latérales minuscules, dents supplémentaires ou absentes.
-
- Les bosses peuvent être bi-minéralisées, mais la saleté fluoroidale peut être une nette tendance à l’envoi d’anomalies par e-mail, à l’image de la fluorose chronique. De plus, les alvéoles peuvent être mal minéralisées et c’est le cas des maladies parodontales si ces sols sont fréquents. La fragilité des races dentaires et les sources minéralisées expliquent la facilité des risques les plus courants, comme le refoulement d’un appétit pré-millionnaire dans le sinus maxillaire.
Les types biotypologiques ne sont pas purs, et tous les enfants de ces catégories ne peuvent pas être classés. En fonction de certains signes, nous pouvons aider à comprendre les problèmes posés par certains enfants.
3] Le développement de la psycho-affectif et de la psychologie
Le développement psycho-affectif et psychologique de l’enfant est important car ce développement est conditionné par de nombreux aspects de la vie. Si ce développement est harmonieux, il évitera à l’enfant de mettre en place des compensations qui seront néfastes, notamment des tics (succion de la gorge ou d’un objet, onycophagie), une posture adaptative d’une psychologie de la réplication ou de l’agressivité, un stress permanent qui provoque un serrement permanent des dents.
Un nourrisson doit également bénéficier d’une alimentation équilibrée. Nous constatons le manque d’obésité avec l’abus de succès et de grâces. Cependant, nous devons être conscients que l’obésité n’est pas sa « punition », mais plutôt un régime alimentaire inadéquat. Les maladies infectieuses chroniques (sinusite, rhino-pharyngite, allergies) ne peuvent être causées que par une mauvaise alimentation.
Il est donc nécessaire de savoir comment éduquer les enfants. La diversité des aliments, nécessaire à une bonne santé (« Que ton aliment soit ton premier médicament » Hippocrate
) est avant tout une éducation du goût de l’enfant. En lui apprenant à aimer une diversité de saveurs à conditionne ses désirs alimentaires et son équilibre biologique.
Il est bon de parler de la psychologie de l’enfant et nous nous consacrerons, en fin de compte, Ã un bon chapitre de travail dans ce domaine.
L’important pour notre sujet orthodontique est que l’équilibre de l’enfant lui permette de passer sans gêner les étapes de son développement dans les fonctions oro-faciales normales.
4] Les antécédents médicauxux
4.1 Les maladies infectieuses
Les maladies infectieuses répétées ou chroniques peuvent entraîner une modification des fonctions oro-faciales et l’interrogatoire doit être orienté vers les maladies qui empêcheront la fermentation du bouquet, la respiration nasale, la respiration pulmonaire et abdominale.
Il est également important de s’intéresser à la posture générale de l’enfant.
Nous avons les plus importantes :
-
- Rhino-pharyngites
-
- végétations
-
- Allergies respiratoires
-
- Angines avec amygdales hypertrophiées
-
- Asthme
5] La posture
Sachant l’importance de la posture dans le développement morphologique de l’enfant (Ontogenèse : Ensemble des processus qui, chez un organisme animal ou végétal, conduisent de la cellule oeuf à l’adulte reproducteur), une surveillance et un traitement adapté de chaque anomalie s’avère indispensable. En effet, le crâne et le visage partiront de l’assemblage squelettique du corps, qui subira toutes les forces musculaires qui animent le corps. Ces forces musculaires les modifient et participent à leur développement.
Raphaël Fenart démontre que les changements de posture sont à l’origine de l’évolution des espèces pour embrasser l’être humain.
Les troubles de la posture peuvent être à l’origine de dysmorphoses craniofaciales majeures, de positions anormales du crâne, de tensions faciales asymétriques et de troubles des fonctions orofaciales.
Je voudrais mentionner les plus importantes :
-
- Torticolis congénitale
-
- La maladie de Sheuermann ou épiphysite de croissance
-
- Les attitudes scoliotiques
-
- Les exagérations des courbures physiologiques sagittales de la colonne vertébrale : hyperlordose cervicale et lombaire, hyper cyphose dorsale.
L’effet du pesanteur sur les corps sera bien réparti e ne soumettra pas les os à des forces anormales. Le peseur est une force qui s’exerce constamment sur notre corps
Quelle est cette posture ?
c’est l’attitude, la position du corps, volontaire ou non. Vous devez tenir compte dans les trois plans de l’espace que sont les plans :
-
- Frontal
-
- Sagittal
-
- Horizontal
La tête est le sommet de l’édifice squelettique humain, en tant que sommet il en devient la pierre angulaire
.
Les os de la tête se divisent en deux groupes :
Le splanchnocrâne
La splanchnocrâne est composée de ceux qui se trouvent à la partie antérieure du corps. Il est suspendu au neurocrâne par les articulations temporo-mandibulaires auxquelles nous avons consacré une bonne partie de ce site.
SPLANCHNOCRANE | NEUROCRANE |
Il est composé de ceux qui forment le visage :
|
C’est la partie du crâne qui est dévelopée
autour de l’encéphale et des organes sensibles. |
Elle est formée par ceux qui composent la nuit crânienne qui contient l’encéphale.
-
- L’occipital
-
- Les 2 os temporaux
-
- L’os sphénoïde
-
- L’os frontal
-
- L’os ethmoïde
Les serrures de Raphaël Fenart ont montré que les changements de position sont de la même origine que notre révolution. Lorsque l’on analyse la situation des mammifères au niveau national, on constate que la totalité des mammifères sont dotés de leur position au moment de leur libération. Cette capacité à agir immédiatement est essentielle à leur survie, mais elle ne signifie pas qu’elles auront le téton de maternité qui les nourrira pendant les premiers mois de leur vie.
Pour l’homme, les choses sont différentes. Sorti du sein maternel, notre nouveau né se retrouve dans l’état des poissons et des reptiles (mobilité en moins). Il est en position horizontale et le restera pendant les premières semaines de sa vie. Il sera en position horizontale et il conservera cette position pendant les premières semaines de sa vie. Très vite cependant le bébé va acquérir une fonction vitale pour son développement : il va « tenir sa tête ». Il pourra ainsi la redresser afin de découvrir le monde. Lorsqu’un bébé ne peut pas continuer à étendre sa tête alors qu’il est en décubitus ventral, il est susceptible d’être victime d’un syndrome neurologique. Dans ce cas, la forme de la tête d’un bébé est différente de ce qu’elle est due à la croissance. Il y a des sources parmi le neurocranon. A la naissance, le bébé acquiert la position assistée qui lui apaisera la tête à l’aplomb de la colonne vertébrale. Dans quelques litres, le bébé commencera à bouger :
-
- Il arrive à se retourner dans son lit
-
- Il arrive à destination dans sa lumière, en rampant, pour atteindre ce qu’il appelle
-
- Dans son parc ou sur le soleil, il va successivement monter en puissance, puis à la manière du lapin (assister sur ses serres, en appui sur les bras, il fait des petits sauts. Plus tard, il arrivera aux 4 pattes. De sa position à 4 quatre pattes il s’habillera en position « à genoux » pour libérer ses mains de l’appui et laisser les objets plus en hauteur. Une partie de cette position consistera à faire des efforts pour s’impliquer. Dernière étape qui va le mener à la marche assistée par ses parents ou dans un déambulateur puis seul.
-
- Les marches dans la bonne position ne sont pas la dernière étape de l’évolution posturale de l’enfant. La marche et l’amélioration de l’équilibre formeront les voix de plantation et les courbures vertébrales.
Selon Kapandji ((Physiologie articulaire III, par Kapandji, chez Maloine), faisant référence à T.A. Willis, évolution des courbures rachidiennes du premier jour de la vie jusqu’à l’âge de 10 ans ;
Il est donc très important de surveiller la position de l’enfant car la position des vertèbres mettra fin à la position de la tête sur les fissures cervicales et donc à la direction des tractions qui seront exercées sur le placenta et le neurocranon.
Le crâne situé sur le côté de la colonne vertébrale, posé sur l’atlas (1° vertèbre cervicale rappelant le géant Atlas qui porta la terre sur ses épaules) par les condyles occipitaux trouve son point d’équilibre sur une plateforme dont la composition est particulière. Les condyles occipitaux reposent sur les surfaces de forme ovale et le centre a l’odontoïde apophyse issue de l’axe (2ème vertèbre cervicale) et qui devient un coude centre de la tête par le rachis cervical.
Cela est plus vrai que le nombre d’individus impliqués, selon Jean Delaire, qui considérait l’équilibre cranio-cervical comme essentiel dans la croissance cranio-faciale.
Delaire a représenté sur ce schéma le déséquilibre de la tête, du visage et de la fente cervicale.
6] Les fonctions Oro-Faciales
Les fonctions oro-faciales ont une importance majeure dans la formation et le développement du visage et notamment de la bouche et des arcades dentaires.
Elles sont multiples car après la création de la vie animale, la bouche est l’instrument essentiel pour assurer la conservation de l’espèce. La gueule, pour les animaux marins, rampes ou quadrupèdes, assure la préhension de la nourriture végétale, la mort des animaux avant leur congestion, les seules bénédictions occasionnelles, le nettoyage des parties du corps, les marques de tendresse des parents à leurs petits, les crises utiles à la communication, aux jeux, à la découverte du monde. Je peux donc dire que la gueule est la partie principale de l’animal.
La main a-t-elle remplacé complètement la gueule de l’animal, devenue bouche ?
Non bien entendu, car la bouche continue à ingérer la nourriture et l’eau, à oxygéner le corps, à découvrir l’univers et à relier l’homme à son environnement par la phonation, la mimique, le baiser et bien d’autres fonctions.
Comment les fonctions oro-faciales participent-elles à la croissance et au développement du visage ainsi qu’au bon placement des dents ?
Les muscles qui s’insèrent sur ceux qui composent le visage et la bouche exercent les tractions sur ces derniers. Ces tractions, si elles sont bien orientées et symétriques, formeront le symétrique et l’harmonieux.
Quelles sont les fonctions oro-faciales les plus importantes dans le développement du visage et le placement des dents ?
-
- Déglutition
-
- La mastication
-
- La respiration
6.1 La déglutition
Nous avons plusieurs types de déglutition. Le premier est le fÅ“tus qui achète dans les 2,5 mm d’épaisseur. La régulation du fÅ“tus apparaît au moment où la tête est déviée et où les conduites sont acheminées vers les collines. Elle est le résultat d’une « aspiration-déglutition » qui durera de 4 à 5 ans. Il est important de savoir que le fÅ“tus peut déjà réussir dans son utérus.
A cet égard, nous espérons que les arcades dentaires trouveront leur chemin au centre d’un murmure musculaire interne : le langage et d’un autre murmure musculaire externe latéral : les joues formées par les muscles buccaux et d’un murmure musculaire anti-extérieur : les muscles des muscles des muscles des muscles et en particulier l’orbiculaire.
L’aspiration-déglutition doit, normalement, se déclencher, pour laisser place à la déglutition. Quelle est la différence ?
ASPIRATION-DÉGLUTITION | DÉGLUTITION |
L’aspiration-déglutition est basée sur un certain mode de déglutition des aliments. En effet, la langue fonctionne jusqu’à la cavité buccale. Il s’interpose entre le maxillaire et la mandibule, le n’y a pas de dents et la mandibule en forme de plaque. Sa place et son mouvement sont identifiés que ce n’est que dans le cadre de l’alimentation comme je le fais dans le cadre de la régulation salivaire.
Pendant cette période, la langue de la bouche est en contact avec les mots et les joules et elle se trouve entre la mâchoire et la mandibule. Il est essentiel que cette position stimule le système fibro-muqueux gingival et participe activement au changement progressif de la mandibule et du maxillaire, mais aussi à l’apparition des dents en stimulant la fibro-muqueuse gingivale qui transmet les pressions s’élevant à celles qui contiennent le germe de la dent. |
De 4 à 5 ans il faudra considérer des déglutitions qui seront :
La régulation salivaire et la régulation salivaire dite « enfant » sont la persistance de la succion et la régulation du bébé, et ce sont elles qui nous intéressent le plus dans l’étude de la croissance faciale et de la position harmonieuse des dents, en raison de leur fréquence et des forces développées par le langage sur leur environnement et leur dentition. |
Qu’est-ce que les déglutitions ?
Une déglutition comprend plusieurs temps en fonction de l’endroit où va se situer le contenu à avaler. Si les temps buccaux entrent en nous, c’est parce que c’est ce qui met la langue en contact avec son environnement buccal immédiat.
FRÉQUENCE :
-
- Salivaire = 1.500 à 2.000 fois/jour. Dans une moyenne de 1 800 et en multiplicateur pour 365 jours, nous obtenons : 657 000 déglutitions/an
-
- L’alimentation en considération le temps d’un repas au moment où la nourriture liquide et solide peut être estimée de manière fiable à 200 par jour au maximum. Ce que nous donnons 200 * 365 = 73.000 nourriture/an. La différence est importante. De plus, la présence du panier alimentaire dans la cavité buccale réduit les forces masticatoires et linguales qui s’exercent sur les dents et les mâchoires.
Que considérez-vous comme une salive normale ?
Les conditions de la déglutition salivaire normale :
Pour que la régulation sanitaire soit normale, la langue doit avoir un environnement favorable à cette fonction. Les conditions essentielles sont :
-
- La liberté de la langue dans la cavité buccale. Pour cela il faudra traiter tout frein lingual trop court
-
- L’occlusion des lèvres est un élément essentiel. Un entre-deux du baume à lèvres, même peu fréquent, obligera la langue à une position de compensation dans la cavité buccale. Si les dents sont dentelées, la langue se positionnera, au cours de la déglutition, sur la base de la cavité buccale, en dérivant les incisives mandibulaires.
-
- L’occlusion dentaire est également une condition essentielle pour une régulation salivaire normale. Toute occlusion dentaire obligera la langue à s’interposer entre les dents.
Description de la déglutition salivaire normale dans la bouche
Heure de la bouche
: La régulation salivaire est efficace, normale, fermée bouche, c’est à dire en serrant les dents (intercuspidie) et en joignant les lèvres (occlusion labiale parfaite). La pointe de la langue s’élève alors des incisives vers le palais, tandis que son corps se déprime pour former une gouttière inclinée en arrière vers le pharynx. Les génioglosses soulagent la pointe, tandis que les styloglosses, les hyoglosses et la linguale supérieure le creusent et le projet en arrière. Dans le même temps, le voile du palais s’élève et se porte au devant de la paroi postérieure du pharynx, soulevée en bourrelet par le constricteur supérieur, pour venir obturer les fosses nasales. (Rouvière)
6.2 Les SALIVAIRES DYSFONCTIONNELLES
Il existe trois types de déglutitions /
-
- L’interposition linguale posturale : la langue entre les bosses posturales (pré et posturales) pour évaluer la salive. Je me félicite que le sujet écoute la bouche sur laquelle l’entrepreneur peut voir les bosses sur le contenu de la langue. La langue peut également conserver cette position entre la déglutition.
-
- La pulsion linguistique : le sujet est la langue entre les dents du secteur dentaire (incisives – canines).
-
- La langue de base : le sujet reste la langue de base, et la pointe se positionnera pour enlever les incisives mandibulaires.
Chaque type de dysfonctionnement peut être responsable d’une simple dysharmonie maxillaire ou d’une anomalie de la croissance craniofaciale et peut conduire à une dysmorphose plus ou moins grave.
Il est essentiel qu’après 2 ou 3 ans, nous encouragions l’enfant à cesser de sucer un objet (tétine, doudou, etc.) afin de lui permettre d’acquérir une régulation salivaire normale.
D’autre part, il est nécessaire que cette évolution ait lieu pour que l’enfant puisse respirer la nuit et non pour qu’il puisse gagner le droit de compenser une obstruction nasale permanente.
6.3 Comment fonctionne la mastication ?
Nous voyons la différence importante entre la régulation salivaire et la régulation alimentaire. La mastication est associée à la déglutition de la nourriture, donc, avec un très petit écart et la présence de bonne nourriture entre les arcades dentaires j’ai beaucoup aimé les contacts dentaires, je vais les rendre impossibles pour une partie de la mastication, au moins, pour débuter la mastication d’une boule de nourriture.
Sauf chez les inconditionnels de la pâte à mâcher (chewing-gum), et les personnes stressées qui s’amusent à contracter et relâcher sans ce ce les masséter pour serrer les dents, on peut considérer que la mastication n’est pas prioritaire dans le développement cranium-facial et la position des dents. Cependant, il faut tenir compte de la stimulation répétée des dents dans leurs cibles et des fibro-musques gingivaux. On peut également penser que le mécanisme de rotation mandibulaire qui permet à la nourriture de pousser dans les gouttières masticatoires permet à la dentition de trouver une position appropriée pour ce travail. Il est nécessaire d’avoir un aliment « solide » pour développer une mastication efficace.
7] L’impact de la respiration thoracique et abdominale
Respiration nasale ou buccale ?
Nous pensons que la respiration nasale est le complément indispensable d’une bonne réglementation. Nous devons donc permettre à nos enfants d’avoir cette respiration nasale permanente afin de lever tous les obstacles :
-
- Rhinites chroniques
-
- Allergies
-
- Végétations infectées ou exubérantes et amygdales
-
- Alimentation : nous avons constaté qu’une alimentation déséquilibrée, particulièrement trop riche en saccharose, peut être causée par des infections rhino-pharyngées chroniques.
-
- Asthme
-
- Bronchites à la répetition etc.
-
- La déglutition infantile
Il existe un certain nombre de tests pour déterminer si l’enfant respire bien :
-
- Test du terroir : s’il y a de la buée, il y a respiration nasale
-
- Test des ailes nez : pincer entre les 2 doigts puis relâcher rapidement. Si le retour à la position normale est suivi d’une petite dilatation de la respiration nasale, c’est bien
-
- Test de Rosenthal : demande à l’enfant d’inspirer et d’expirer 10 fois de suite par le nez. Il faut le faire et le faire arriver sans être essoufflé.
-
- Test de Landouzy : Plaquer la narine contre la cloison nasale et demander une inspiration par l’autre narine. Ecouter le bruit et le sujet. Vous pouvez le faire vous-même avec l’autre nez.
Il est clair que notre obstruction ne signifie pas que le résultat de l’action mécanique sur la déglutition des enfants sur les membres supérieurs et inférieurs. Dans ce cas, l’obstruction nasale ne déclenche pas de correction anormale de la régulation. Le résultat est immédiat. Parmi les premiers degrés normaux de dyslexie, la respiration nasale est possible pour la majorité des enfants et leurs parents.
Les spécifications de la respiration thoracique et abdominale
Lors que l’air a franchi les voies aériennes supérieures (nez et bouche) il se dirige vers les poumons, aspiré par les muscles respiratoires qui dilatent les poumons en augmentant par un mouvement le volume pulmonaire à la manière d’un soufflet.
nous pouvons déterminer 3 types de respirations :
-
- Une respiration costale supérieure
-
- Une respiration costale inférieure
-
- Une respiration abdominale
Chacun, en fonction de sa posture, de son habitude, de sa biotypologie et de son passage pathologique à « choisi » une respiration habituelle. Cette respiration exerce au moins une minute de force de traction sur le visage et le crâne. Ces forces seront différentes en fonction de la respiration dominante. Une respiration abdominale exercera sa force de traction sur le visage et le crâne lorsqu’une respiration supra-thérapeutique, le volume étant plus réduit que pour les autres, sera plus active par les muscles supra-thérapeutiques et par une fréquence plus importante pour atteindre un volume plus réduit à chaque respiration.
[/google_cloaking]